LYME CHRONIQUE / SAMA / EHS - 6 ANNÉES DE GUÉRISON / RÉMISSION TOTALE
Depuis près de six ans, je m’estime complètement guéri de la maladie de Lyme, aussi bien d’un point de vue physique (symptômes) que psychique (traumatisme).
Voici la liste des symptômes dont je souffrais et qui ont aujourd’hui complètement disparu (par ordre d'importance) :
névralgies généralisées et quasi permanentes
neuropathies des petites fibres
paresthésies (engourdissements, fourmillements, picotements)
tressautements de nerfs (spasmes nerveux / hyperexcitabilité nerveuse)
sensations de brûlures dans le cerveau (encéphalite)
électro-hypersensibilité (aggravation des neuropathies et des paresthésies au contact des composants électroniques d'appareils électromagnétiques)
douleurs dentaires
crispation incontrôlée de la mâchoire (trouble de l'articulation temporo-mandibulaire)
migraines
douleurs pulsatiles et violentes dans le crâne (frontal, pariétal, temporal et occipital)
pression intra crânienne (encéphalopathie)
douleurs dorsales et dans les cervicales
douleurs articulaires et musculaires migratoires
douleurs abdominales
douleurs auriculaires
douleurs thoraciques
trouble de la fonction intestinale (principalement selles molles)
allergies alimentaires soudaines (aux œufs notamment)
tachycardies
baisse de mon acuité visuelle
mal des transports accru
nausées
bouffées de chaleur, sueurs et frissons inopinés
irritabilité et anxiété
démangeaisons en cas d’hyperthermie (symptôme du syndrome d’activation mastocytaire).
RÉSUMÉ DE CETTE SIXIÈME ANNÉE DE RÉMISSION
Durant cette sixième année de rémission de Lyme, j’ai continué les recherches et les essais-erreurs pour soigner ma sphère ORL. J’ai fini par comprendre que l’origine de mes troubles ORL, et notamment de mon biofilm ORL, était en fait un reflux laryngo-pharyngé (RLP), aussi appelé reflux extra-œsophagien..
Contrairement au reflux gastro-œsophagien (RGO), où les acides remontent principalement vers l'œsophage, le RLP implique une remontée plus haut dans les voies respiratoires sous une forme plutôt gazeuse que liquide, via des micro-gouttelettes ou de fines particules qui permettent alors d’atteindre des zones plus éloignées de l’estomac comme le larynx, le pharynx, les dents, les poumons, le nez, les oreilles, etc.
L’aspect volatil diminue également considérablement la perception des symptômes, ce qui permet au reflux laryngo-pharyngé d’évoluer de manière silencieuse, sans les symptômes typiques de reflux acide tels que les brûlures d'estomac ou les régurgitations, rendant son diagnostic plus difficile.
Le reflux laryngopharyngé (RLP) peut favoriser le développement de biofilms dans la sphère ORL (otorhinolaryngologique) en raison de plusieurs facteurs :
Irritation et inflammation : Le reflux acide peut irriter et endommager les muqueuses sensibles des voies respiratoires supérieures, créant ainsi des zones propices à l'adhérence des micro-organismes et à la formation de biofilms.
Stagnation du mucus : Le reflux peut également entraîner une augmentation de la production de mucus dans les voies respiratoires supérieures. Ce mucus excessif peut favoriser la stagnation des micro-organismes et la formation de biofilms.
Altération de la flore bactérienne : Le reflux acide peut perturber l'équilibre de la flore bactérienne normale dans les voies respiratoires supérieures, favorisant ainsi la croissance excessive de certains micro-organismes et la formation de biofilms.
Bingo ! La cause de la cause de mon biofilm serait donc un reflux silencieux extra-oesophagien exprimé sur un terrain allergique avec faiblesse pré-existante au niveau ORL !
J’ai depuis mis en place une stratégie complète que je vous partagerai lorsque je serai guéri. J’en ressens déjà les premiers bienfaits. J’ai à cœur de partager publiquement mes connaissances sur ce sujet ainsi que mes protocoles de guérison car ce problème me semble largement sous-estimé, et pourtant bien repandu et dévastateur en termes de qualité de vie. Peut-être écrirai-je un jour un livre sur le sujet pour raconter en détails mon histoire et tout ce que j’ai appris sur le sujet après plus de 10 années de recherche sur le sujet des troubles ORL.
Cette sixième année a également été placée sous le signe du lancement d’une autre activité professionnelle dans le secteur de l’immobilier. J’avais en effet envie d’élargir mes horizons professionnels et de développer de nouvelles compétences. Je suis très satisfait par l’équilibre trouvé entre mes différentes activités professionnelles.
Concernant mon activité de formateur, j’ai eu le bonheur de réussir à ce que ma formation LYMECOACHING puisse être prise en charge. Étant cetifié qualiopi (la certification qualiopi atteste de la qualité du processus mis en œuvre), ma formation peut désormais être prise en charge quel que soit le profil du financeur (OPCO, Pôle Emploi, Entreprises, Collectivités, Régions, …) et du stagiaire (naturopathe, particulier, professionnel de santé). La procédure à suivre pour la demande de prise en charge est simple :
1/ Me contacter par mail : contact@adam-nour.com
2/ Je vous enverrai un questionnaire à remplir
3/ Me renvoyer votre questionnaire dûment rempli que je transmettrai à mon organisme de formation
4/ Mon organisme de formation identifiera avec vous votre dispositif de financement et vous enverra par mail un devis
5/ Vous envoyez ce devis à votre dispositif de financement pour la demande de prise en charge
Au-delà du professionnel et de la santé, j’ai continué à silloner le monde. J’ai voyagé en Angleterre, au Sri Lanka, en Albanie, au Maghreb et au Moyen Orient. Preuve qu’il est possible de croquer la vie à pleine dents après une épreuve comme la maladie de Lyme chronique, que rien n’est jamais figé, et que la vie peut reprendre et nous surprendre malgré des épreuves qui nous semblent parfois insurmontables.
GUÉRISON OU RÉMISSION ?
Si l’on s’en tient à la définition du Larousse, la guérison correspond à la « disparition totale des symptômes d'une maladie ou des conséquences d'une blessure avec retour à l'état de santé antérieur ».
En laboratoire, toutes mes sérologies sont négatives. Cliniquement, je ne présente plus aucun symptôme depuis près de six ans.
La charge infectieuse globale a largement diminué : l’infection bactérienne a été régulièrement délogée, dés-enkystée et éliminée, et les co-infections virales, fongiques, bactériennes et parasitaires ont été traitées. Le niveau inflammatoire général et la charge toxique globale sont nettement diminués et maîtrisés, et mes carences nutritionnelles ont été comblées. Mes facteurs aggravants (en l’occurrence ORL et dentaire) ont été identifiés et traités (mes troubles ORL sont malheureusement revenus depuis comme expliqué plus haut, mais j'ai enfin compris que la cause profonde était un reflux laryngo pharyngé). Quant à mon système nerveux, il a été délivré des pathogènes, apaisé et nourri.
Mon esprit est apaisé, renouvelé et libéré de la mémoire traumatique de la maladie. Je ne crains pas de me balader en nature, ni d’être mordu par une tique. Bien sûr je prends toutes les mesures de prévention nécessaires pour éviter une recontamination, mais je ne suis plus traumatisé. Je n’en veux à personne, ni à cet insecte qui m’a rendu malade, ni au corps médical qui ne m'a ni écouté, ni aidé.
L'homéostasie générale a été rétablie. J’ai retrouvé une vie normale. Je dors 8 heures par nuit, je pratique une activité physique régulière et ne souffre plus d'aucun symptôme. Je suis indépendant, épanoui et heureux. Je suis en mesure de voyager, de faire la fête avec mes amis et d’entretenir une vie sociale riche, des choses dont je rêvais il y a quelques années mais qui m’étaient impossibles. Je me sens plus fort, j’ai une meilleure capacité adaptative, une bien meilleure immunité et beaucoup plus d’énergie.
La théorie (sérologie) et la pratique (symptomatologie - critère dominant) semblent donc concorder vers une guérison asymptomatique effective et durable.
Il est toutefois possible qu’une infime quantité de borrélies soit toujours présente dans mon corps, sous une forme cachée (cf. biofilms et borrélies enkystées). Cette question est sujette à débat et nul ne dispose encore des outils permettant de quantifier le taux résiduel de bactéries enkystées dans l'organisme humain. Quoi qu’il en soit, l’infection n’est plus active et ne cause plus de dommages, d'inflammation, ni de réactions autodestructrices de la part de mon système immunitaire. Si des bactéries ont survécu à désormais près de 9 années de traitements antiseptiques (5 années en continu puis 4 années par cures), elles ne représentent qu’une forme dormante et inoffensive de la maladie, gardée sous contrôle par mon système immunitaire, et un environnement interne défavorable à leur prolifération. Dans ce cas-là, on pourrait considérer que je suis porteur sain de la maladie. Ce qui est à mon sens synonyme de guérison.
En effet, nous sommes des êtres microbiens. Tout le monde abrite des pathogènes : des virus herpétiques en passant par des streptocoques, des rétrovirus, des champignons, des mycoplasmes ou des chlamydias. Pourtant ces personnes ne sont pas nécessairement malades. Alors même qu’elles ont contracté ces infections et qu’elles en ont souffert par le passé, la plupart d’entre elles redeviennent asymptomatiques et retrouvent une vie tout à fait normale. Ces personnes sont dites « porteurs sains ». C’est-à-dire que l’agent pathogène est toujours présent dans leurs organismes mais qu’il n’est plus source de maladie. Il devient inoffensif. Pourquoi ? Car le système immunitaire de ces individus est fort et équilibré. Il reconnaît l’agent pathogène et le contrôle. Gardé en maintenance, celui-ci se fond dans le microbiome et se met à entretenir une relation symbiotique avec son hôte.
Qu’est-ce qui différencie quelqu’un qui est porteur sain de EBV d’une personne qui développe un syndrome de fatigue chronique à la suite d’une mononucléose ? Ou quelqu’un qui arbore un candida albicans en petite quantité et sans aucun symptôme, de quelqu’un qui souffre intarissablement de candidose chronique ? La réponse est le terrain. Tout est une question de terrain. La maladie de Lyme ne fait pas exception.
C’est dans cette optique que je m’inscris et envisage ma propre guérison.
La vie n’étant jamais un long fleuve tranquille, vous pouvez imaginer que j’ai moi-même dû affronter certaines difficultés durant ces 6 années de pleine santé. Mais malgré plusieurs chocs immunitaires sur lesquels je n’ai pu avoir aucun contrôle, je n’ai jamais rechuté.
Mon état de santé est désormais solide et même meilleur qu’avant de contracter la maladie. L’unique raison à cette amélioration pérenne est que j’ai effectué un véritable travail de fond, et agi à tous les niveaux. Le chemin fut long, tortueux, éprouvant, et l’issue favorable me semblait parfois inatteignable tant je partais de loin, et tant les témoignages de guérison se faisaient rares, mais j’ai finalement réussi à en sortir victorieux. Ce chemin de guérison, cette approche holistique, tous ces efforts ont constitué un véritable investissement sur le long terme, que je continue toujours à appliquer et dont je continue à ressentir les bienfaits cumulatifs, preuve de l’incroyable résilience du corps humain et l’efficacité redoutable de la médecine naturelle.
MON PROTOCOLE DE MAINTENANCE ACTUEL
Mon protocole de maintenance se résume depuis 7 mois au port de la montre Nikki, en remplacement de mon protocole de maintenance par les plantes (Ki-vita par cures).
Par souci de commodité, j’étais soucieux de trouver un moyen plus pratique de rester en rémission.
Par le biais de mes propres recherches (merci notamment à Scott Forsgren du site betterhealthguy.com), j’ai découvert la montre Nikki, une nouvelle technologie qui propose différents ensembles de fréquences (lyme, moisissures, détox, digestion, sommeil, stress, douleurs, allergies, etc) véhiculéspar un système de lumière.
Les fréquences augmentent la capacité cellulaire à communiquer avec d’autres cellules, tissus et organes. Cela engendre le renforcement des défenses immunitaires propres à l’organisme et une mise en marche des mécanismes de régénération spontanée.
J’ai écrit un article complet sur le sujet : https://www.adam-nour.com/single-post/m%C3%A9decine-%C3%A9nerg%C3%A9tique-quelle-place-dans-l-accompagnement-du-lyme-chronique
Si la montre Nikki vous intéresse, j’ai négocié pour vous un code promo vous offrant -10% : ADAMNOUR
Je vous tiendrai au courant l’année prochaine des résultats de la montre sur le long terme afin de vous dire si la rémission offerte par la montre est bel et bien pérenne.
Attention, cette montre ne vise pas à remplacer un traitement anti-infectieux en cours. L’approche globale par les plantes reste pour moi la plus efficace et la plus complète pour guérir de Lyme. Elle peut être intéressante :
- en complément d’un traitement anti-infectieux en cours pour soutenir le processus de guérison en agissant sur un plan plus subtil (le plan énergétique);
- pour les personnes très réactives qui ne supportent pas la moindre dose de médicament, plantes, compléments, etc;
- pour les personnes qui ont déjà atteint la rémission et qui souhaitent le rester, en parallèle d’une bonne hygiène de vie.
BREF RÉSUMÉ DE CE QUE J’AI FAIT POUR GUÉRIR DE LYME
1. Plantes médicinales antiseptiques à large spectre (antibactériennes, antivirales, antifongiques, antiparasitaires et briseurs de biofilms), sous forme de préparation traditionnelle (teinture, décoction, poudre, etc), tous les jours durant 3 ans pour baisser lentement mais sûrement ma charge microbienne globale, en évitant les effets délétères et le spectre d’action limité des médicaments chimiques.
2. Plantes médicinales anti inflammatoires, toniques et trophorestauratrices du système nerveux pour calmer l’inflammation au niveau de mes nerfs, et réparer la gaine de myéline endommagée par l'infection.
3. Travail de tonification de ma sphère gastro-intestinal : relance de l'acide chlorhydrique et autres liquides digestifs, réparation de la muqueuse intestinale, ré ensemencement de ma flore intestinale, nettoyage des intestins.
4. Alimentation naturelle, hypotoxique, saine et variée, sans jamais tomber dans le dogmatisme ou la complexité du régime restrictif.
5. Habitat sain, exempt d’ondes électromagnétiques, de moisissures, de métaux lourds et de toxiques en tout genre (produits ménagers et cosmétiques naturels, purificateur d’eau, purificateur d’air).
6. Techniques de détoxification quasi quotidiennes : plantes drainantes et alteratives, sauna infrarouge, bains dérivatifs, bains chauds au sel d’epsom, oil pulling, brossage à sec, prise de binders (argile, charbon activé, chlorella), prise de chélateurs naturels (coriandre, persil), glutathion…
7. Profond travail de nettoyage de ma sphère ORL qui constituait un facteur aggravant de ma maladie de lyme puisque source de pathogénicité, d’inflammation et d’immunosuppression.
8. Dépose de mon amalgame dentaire restant et opération des cavitations NICO par un dentiste holistique.
9. Journées à la mer durant près d’un an et demi pour l’apport en vitamine D, l’oxygénation du corps, la reconnexion à la nature, et les vertus reminéralisantes et apaisantes de l’eau de mer.
10. Travail sur ma sphère psycho-émotionnelle avec beaucoup d’affirmations positives, d’écriture émotionnelle, de visualisation, de lectures inspirantes et travail avec une praticienne en énergétique.
Pour les personnes intéressées, je détaille mon parcours dans mon livre "Lyme chronique, ma guérison au naturel", désormais disponible sous format papier.
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Les informations issues du présent article ne constituent pas non plus une recommandation personnelle en naturopathie. Toute mise en application des informations citées dans cet article ne devra être faite qu’à la discrétion du lecteur et à ses propres risques. L’auteur décline formellement toute responsabilité, quelle qu'elle soit, dans les cas d’application de ces informations sans l'autorisation préalable d'un professionnel de santé ou du bien-être.
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